| ENDNOTES
1. See Amédée Thierry, Histoire
des Gaulois (Paris, 1828); Jules Michelet, Histoire
de France, 17 vol. (Paris, 1833-1877).
2. For more information on the development
of the artistic colony in Barbizon, see Marie-Thérèse
de Forges, Barbizon et l’école de Barbizon
(Paris: Editions du temps, 1971).
3. For more information on the commercial
exploitation of the forest; see E. Bourges, Recherches sur
Fontainebleau (Paris, 1896).
4. For a contemporary history of the Forest
of Fontainebleau; see C.F. Denecourt, Guide du voyageur
dans le Palais et la Forêt de Fontainebleau, ou histoire
et description abégée des ces lieux remarquables
et pittoresque, 10th edition (Fontainebleau, 1846).
5. John Ittman, Forest of Fontainebleau:
Refuge from Reality, French Landscape, 1800-1870, exh.
cat. New York: Shepherd Gallery, 1972.
6. See E. Jamin, Quatre promenades dans
la forêt de Fontainebleau (Fontainebleau, 1837).
7. See the chronology in Impression of
France: Monet, Renoir, Pissarro, and their Rivals, exh.
cat. Boston: Museum of Fine Art, 1995-6, 60-4.
8. See Paul Domet, Histoire de la forêt
de Fontainebleau, Paris: Hachette et cie, 1873
9. See C.F. Denecourt, Guide du voyageur,
26.
10. A.S. “La forêt de Barbizon—Dévastations,”
L’Artiste, 2nd. Ser., 3 (1839): 290-2.
11. Théophile Thoré, “Par
monts et par bois,” Le Constitutionnel, no. 531
(27 November 1847): 1-2; no. 232 (28 November 1847): 1-2.
12. “Les plus grands artistes sont,
comme les végétaux, les fruits d’un sol,
les produits d’un endroit, la sève sauvageonne
d’un coin de bois ou d’une vigne cultivée.”
Alfred Sensier, “Les peintres de la nature, Salon de 1870,”
Revue internationale de la curiosité 3, no.5
(15 May 1870): 373.
13. “Les élèves de Barbizon
sont des druides, comme les anciens Gaulois. Pour eux n'a existé
ni Athènes ni Rome, ni le moyen âge, ni la renaissance.
. . . Ce sont les druides de la forêt. Ils adorent le
chêne, coupent le gui avec une faucille d'or, selon le
rite sacré. Ils laissent croitre leur barbe, chaussent
leurs jambes de longues bottes et vivent à l'auberge
du père Luniot, gendre et successeur de Ganne l'illustre.”
Hector de Callias, “L’Ecole de Barbizon,”
L’Artiste (15 December 1866): 57-8.
14. See "Documents sur Gustave Courbet
réunis par Etienne Moreau-Nélaton et Georges Riat
(venus de Castagnary) et La Famille Courbet." Paris, Bibliothèque
Nationale de France: Cabinet des Estampes, boite 2, lettres
de Courbet à Francis Wey.
15. Danièle and Yves Roman, Histoire
de la Gaulle, sixième siècle avant Jésus-Christ-premier
siècle après Jésus-Christ, Paris:
Fayard, 1996.
16. S. Cambray, “Paysages du nord et
du midi,” L’Artiste, nou. sér.,
1 (April-August 1857): 239.
17. See Christopher Parsons and Neil McWilliam,
“Le Paysan de Paris: Alfred Sensier and the Myth of Rural
Franc,” Oxford Art Journal 6, no. 3 (1983): 38-58.
18. In his 1844 Salon, Thoré coined
the word l’art pour l’homme to counter the idea
of art for art’s sake. Influenced by the Saint-Simonian,
he saw in nature a model for a harmonious society. Thoré’s
promotion of Rousseau’s work and of naturalist painting
in general was an attempt to educate the public in human perfectibility
and the possibility of an organic unified society. For a discussion
of this issue see Véronique Chagnon-Burke, “The
Politicization of Nature: The Critical Reception of Barbizon
Painting During the July Monarchy,” Ph.D. Diss. The Graduate
Center of the City University of New York, 2000
19. “Forêt de Fontainebleau,”
La Renaissance littéraire et artistique, 20-27
(26 October 1872): 211-2.
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